Dans le but l'idée de rendre l’expérience de l’utilisateur fluide dans la mesure du possible et de suppléer à l’abondance des plateformes et des contenus dispersés… explique le directeur général Laurent Sorbier, MySkreen s’est fixée pour mission de regrouper tous les vidéos professionnels accessibles en France. Elle concerne particulièrement les services de vidéo à la demande (VoD), de télévision de rattrapage (TVR), les Web TV et les diffusions en streaming live ou en direct. Avec l’accord de ses partenaires, MySkreen peut se fondre avec les sites d’hébergement de vidéo. Sa différence demeure dans le fait qu’elle permet la diffusion en streaming sur un lecteur maison. Les offres peuvent être payantes. Dans ce cas, les utilisateurs peuvent accéder à la vidéo à partir d’un compte qu’ils auront créé sur MySkreen.
Pour optimiser le nombre de vidéos vues, MySkreen ne propose pas son service sur son propre site. Elle collabore avec de nombreux sites partenaires, dont Yahoo, MSN et Le Figaro à qui reviennent la moitié de la commission. La société fait également fond sur le développement de la télévision connectée en vue d’enrichir son service.
Pour se rémunérer, MySkreen prélève une commission de 30 % sur les achats de vidéo à la demande et sur les gains publicitaires des contenus sans frais. Par contre, la plateforme ne touche perçoit aucune rémunération lorsqu’elle renvoie le cybérien vers un site extérieur. MySkreen touche également entre 5 et 10 % de l'offre de TVR.